L’IA bouleverse nos modes de vie, notre rapport à l’information et nos repères de vérité. Comment distinguer le réel du fabriqué, le fiable du manipulé ? Quels sont les risques
Détails de l'événement
L’IA bouleverse nos modes de vie, notre rapport à l’information et nos repères de vérité. Comment distinguer le réel du fabriqué, le fiable du manipulé ? Quels sont les risques de désinformation à l’ère des intelligences génératives ?
Le Club de la Presse Méditerranée 06 et l’IMREDD vous invitent à une conférence-débat exceptionnelle autour d’un sujet au cœur de l’actualité : les promesses et les dérives de l’intelligence artificielle.
Pour apporter un éclairage scientifique et nuancé sur ces questions, Serena VILLATA, Ph.D., HDR, Directrice de recherche au CNRS et à Université Côte d’Azur, responsable de l’équipe Inria MARIANNE « Traitement du langage naturel » et Directrice scientifique adjointe du 3IA Côte d’Azur Institute, partagera son expertise sur les enjeux éthiques, techniques et sociétaux liés à l’intelligence artificielle.
La rencontre sera animée par Bernard DELOUPY, journaliste et auteur du roman « Crim’ à la mairie » (Éditions Gilletta), qui guidera le débat et les échanges avec le public.
Un rendez-vous gratuit ouvert à toutes celles et ceux qui souhaitent mieux comprendre les mécanismes de l’IA et les défis de la vérité à l’ère numérique.
This popup was created using the WordPress content editor.
Subscribe to get your discount!
Enter your email & get 15% off!
Le MESR accompagne l’Université Nice Sophia Antipolis dans la mise en oeuvre de l’Opération « Campus Prometteur ».
Plan exceptionnel en faveur de l’immobilier universitaire, l’opération Campus Prometteur lancée en 2008 a pour objet de faire émerger des campus d’excellence qui seront la vitrine de la France et renforceront l’attractivité et le rayonnement de l’université française.
Lauréate de la sélection des « campus prometteurs », l »Université Nice Sophia Antipolis a décidé de placer le futur bâtiment de l’IMREDD dans l’éco-vallée. Il s’agit d’un investissement de 15 millions d’euros qui permettront de disposer de 4500m2 de surface abritant 800 étudiants, 100 chercheurs , 50 étudiants en doctorat, et 50 personnels ingénieurs, techniciens et administratifs.
L’établissement Public d’Aménagement (EPA) Plaine du Var assure la mise en œuvre et l’aménagement de l’Opération d’intérêt National (OIN) Eco-Vallée.
Le statut OIN est accordé par l’État aux projets de territoire qui sont conformes aux stratégies et aux enjeux nationaux et qui par leur importance ont un impact national. La France compte treize OIN à ce jour. Avec son périmètre de près de 10 000 hectares, l’Éco-Vallée est l’une des plus vastes.
Le développement durable en pratique
Le projet azuréen présente un intérêt national par sa capacité à accélérer le développement de l’une des villes les plus internationales de France dans la compétition entre les métropoles européennes.
Second enjeu national : le site, voulu « éco-exemplaire », sera le terrain de démonstration de la politique en faveur de la biodiversité et du développement durable prônée par le Grenelle de l’Environnement.
La première concrétisation a été l’adhésion de la Métropole Nice Côte d’Azur à la démarche « EcoCités » lancée par le Ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement en faveur du développement urbain durable.
Une mobilisation générale
L’État a fédéré autour du projet toutes les collectivités locales :
• La Métropole Nice Côte d’Azur a concentré sur ce territoire sa stratégie en matière de formation et de recherche dans les domaines des technologies durables, de la santé et de la croissance verte. Son schéma de transports à long terme prévoit la desserte d’une forte partie de l’Éco-Vallée.
• Le Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Conseil général des Alpes-Maritimes et les deux intercommunalités de la plaine du Var, Coteaux d’Azur et Estéron, ont également partagé cette ambition : faire de ce territoire, de la Côte d’Azur et au-delà de toute la région, l’un des viviers d’un nouveau modèle de développement.
La ville de Nice soutient le projet de développement de l’Eco-campus de l’Université Nice Sophia Antipolis et de l’IMREDD.
Commune du Sud-Est de la France, Préfecture du département des Alpes-Maritimes et deuxième ville de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur derrière Marseille.
LA MÉTROPOLE NICE CÔTE D’AZUR APPORTE SON SOUTIEN FINANCIER ET PARTENARIAL AU DÉVELOPPEMENT DE L’ÉCO-CAMPUS DE L’UNIVERSITÉ NICE SOPHIA ANTIPOLIS ET DE L’IMREDD.
Établissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI), la métropole NCA unit mer et sommets du Mercantour au travers des 4 intercommunalités de Nice Côte d’Azur, la Vésubie, la Tinée et les stations du Mercantour.
En 2008, sous l’impulsion de Christian Estrosi, la Métropole NCA s’est engagée dans une profonde diversification de son tissu économique en investissant dans les nouvelles filières de l’innovation, de la croissance verte et des éco-industries, à fort potentiel de création d’emplois.
Le développement de ces nouvelles filières passe par le développement d’un écosystème vertueux, et donc par une plus grande coopération entre les mondes de l’action publique, de l’entreprise, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.
L’ambition est de développer une économie de la connaissance et de l’innovation dans les domaines d’activités stratégiques que sont: la ville intelligente (Smart City), la e-santé, la silver économie, l’environnement et l’énergie.
L’IMREDD, inauguré en 2012, a été co-développé par la Métropole NCA et l’Université Nice Sophia Antipolis.
La Métropole met à disposition de l’IMREDD des locaux entièrement aménagés de 1700 m2 dans le bâtiment Nice Premium (montant de l’investissement de la Métropole: 4 400 000€).
L’IMREDD et donc l’Université Nice Sophia Antipolis, ses facultés et ses laboratoires, bénéficient systématiquement des collaborations que la Métropole NCA développe avec les industriels qui souhaitent s’investir sur le territoire.
La Métropole NCA participe au financement des nouveaux locaux de l’IMREDD à hauteur de 3,7 millions d’euros. D’une superficie de 4 500 m2, la construction de ces nouveaux locaux démarrera l’an prochain pour une livraison attendue en 2019.
