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Lauréate de la sélection des « campus prometteurs », l »Université Nice Sophia Antipolis a décidé de placer le futur bâtiment de l’IMREDD dans l’éco-vallée. Il s’agit d’un investissement de 15 millions d’euros qui permettront de disposer de 4500m2 de surface abritant 800 étudiants, 100 chercheurs , 50 étudiants en doctorat, et 50 personnels ingénieurs, techniciens et administratifs.
Le projet azuréen présente un intérêt national par sa capacité à accélérer le développement de l’une des villes les plus internationales de France dans la compétition entre les métropoles européennes.
Second enjeu national : le site, voulu « éco-exemplaire », sera le terrain de démonstration de la politique en faveur de la biodiversité et du développement durable prônée par le Grenelle de l’Environnement.
La première concrétisation a été l’adhésion de la Métropole Nice Côte d’Azur à la démarche « EcoCités » lancée par le Ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement en faveur du développement urbain durable.
L’État a fédéré autour du projet toutes les collectivités locales :
• La Métropole Nice Côte d’Azur a concentré sur ce territoire sa stratégie en matière de formation et de recherche dans les domaines des technologies durables, de la santé et de la croissance verte. Son schéma de transports à long terme prévoit la desserte d’une forte partie de l’Éco-Vallée.
• Le Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Conseil général des Alpes-Maritimes et les deux intercommunalités de la plaine du Var, Coteaux d’Azur et Estéron, ont également partagé cette ambition : faire de ce territoire, de la Côte d’Azur et au-delà de toute la région, l’un des viviers d’un nouveau modèle de développement.
Le développement de ces nouvelles filières passe par le développement d’un écosystème vertueux, et donc par une plus grande coopération entre les mondes de l’action publique, de l’entreprise, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.
L’ambition est de développer une économie de la connaissance et de l’innovation dans les domaines d’activités stratégiques que sont: la ville intelligente (Smart City), la e-santé, la silver économie, l’environnement et l’énergie.
L’IMREDD, inauguré en 2012, a été co-développé par la Métropole NCA et l’Université Nice Sophia Antipolis.
La Métropole met à disposition de l’IMREDD des locaux entièrement aménagés de 1700 m2 dans le bâtiment Nice Premium (montant de l’investissement de la Métropole: 4 400 000€).
L’IMREDD et donc l’Université Nice Sophia Antipolis, ses facultés et ses laboratoires, bénéficient systématiquement des collaborations que la Métropole NCA développe avec les industriels qui souhaitent s’investir sur le territoire.
La Métropole NCA participe au financement des nouveaux locaux de l’IMREDD à hauteur de 3,7 millions d’euros. D’une superficie de 4 500 m2, la construction de ces nouveaux locaux démarrera l’an prochain pour une livraison attendue en 2019.
Seeing the forest for the trees?
24avr10 h 30 minSeeing the forest for the trees?Forests, carbon credits and innovations in climate finance
Détails de l'événement
L’IMREDD et l’Université Côte d’Azur ont le plaisir d’accueillir Dr Libby Blanchard, chercheuse à l’Université de l’Utah, à l’occasion d’une conférence exceptionnelle donnée dans le cadre de sa visite à Nice.
Inscription obligatoire
Dr Blanchard vient collaborer avec les équipes de l’IMREDD sur le projet de recherche EMMA (Environmental Management for Mitigating Emissions through More effective Allocation of water), sélectionné dans le cadre du Mobility Package du projet Olympic du programme Global U de l’Université de l’Utah et du programme IdEx de l’Université Côte d’Azur.
Résumé de la conférence
La lutte contre la déforestation et les changements d’usage des terres est essentielle pour atténuer le changement climatique, ces secteurs représentant environ 20 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre chaque année. Une des approches consiste à recourir à la vente de crédits carbone, chaque crédit représentant théoriquement une tonne de CO₂ équivalent évitée ou retirée de l’atmosphère. Ces crédits sont générés par des projets visant à réduire les émissions, comme les programmes de reforestation dans les pays en développement.
Cependant, de nombreuses recherches montrent que les crédits carbone fondés sur la nature surestiment souvent leur bénéfice réel pour le climat. Dans cette conférence, Dr Blanchard analysera les promesses et les limites de ces mécanismes, et proposera des pistes concrètes pour mieux canaliser les financements vers les solutions fondées sur la nature et mieux évaluer les réductions d’émissions réellement obtenues.
Conférence en anglais.
À propos de Dr Libby Blanchard
Dr Libby Blanchard est une chercheuse spécialisée dans l’amélioration de la rigueur scientifique des politiques climatiques. Elle possède une expertise particulière en finance climatique, marchés du carbone (crédits carbone et solutions fondées sur la nature), objectifs climatiques et engagements net zéro, ainsi qu’en processus de décision environnementale.
Elle est actuellement chercheuse associée au Wilkes Center for Climate Science & Policy de l’Université de l’Utah, après avoir soutenu son doctorat à l’Université de Cambridge en 2020.
Dr Blanchard collabore étroitement avec le Berkeley Carbon Trading Project de l’Université de Californie à Berkeley et Oxford Net Zero, et participe désormais, grâce aux programmes IdEx de l’Université Côte d’Azur et Global U de l’Université de l’Utah, au projet EMMA (Environmental Management for Mitigating Emissions through More effective Allocation of water) mené à l’IMREDD, dans le cadre de la Chaire partenariale « L’Eau dans les Territoires des Alpes-Maritimes ».
Horaire
24 avril 2025 10 h 30 min(GMT+02:00)
Lieu
IMREDD
9 rue Julien Lauprêtre
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Organisateur
IMREDD
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